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Bienvenue chez Antgrésan

 

22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 23:41

Pirouette et l'hiver

Je vais vous conter la belle histoire de Pirouette et l’Hiver.

« Connaissez-vous Pirouette ? C’est une petite fille, une marionnette, aux yeux noisette, au nez en trompette, des tâches de rousseur plein les joues et de longs cheveux roux.

On l’appelle Pirouette, car toujours elle danse et fait des pirouettes.

C’est une petite fille très joyeuse, comme vous, et pourtant Pirouette habite un drôle de pays.

Un pays où le temps n’existe pas. Il ne s’est jamais installé ici.

Ici, c’est un pays où il n’y a pas de saison : pas d’automne, pas d’hiver, pas de printemps, pas d’été.

Jamais le vent ne souffle, ni la pluie, ni la neige ne tombent. Le ciel n’a pas de couleur.

Parfois des nuages passent, doucement dans le ciel, mais sans déranger le temps.

On peut porter tous les jours les mêmes habits et les arbres ont toujours des fruits, beaux et bons. Quand on cueille une pomme, hop ! une autre pomme pousse immédiatement, comme par enchantement, toute aussi bonne et toute aussi juteuse.

Voilà le beau pays de Pirouette où rien ne semblait devoir changer.

Et pourtant, un jour, Pirouette trouve un livre à la bibliothèque, et elle lit ….

« L’histoire du Papa Noël »

Le Papa Noël habite loin, loin, dans un pays où il fait très froid. Toute l’année, avec ses lutins, il fabrique des jouets, pour tous les enfants du monde. Puis, le soir de Noël, il charge tous ces jouets dans son traîneau et il les apporte aux enfants endormis… »

Cà alors ! s’écrit Pirouette, mais le Papa Noël n’est jamais venu ici.

Alors Pirouette se met à rêver. Comme elle aimerait que le Papa Noël lui apporte des jouets. Mais pour cela, il faudrait que l’hiver s’installe dans son pays et fasse tomber de la belle neige, bien blanche.

Alors Pirouette appelle l’Hiver : Hiver où es-tu ? Hiver que fais-tu ?

Tout d’abord, ce ne fut qu’un nuage, une brume qui s’enroula au pied du lit de Pirouette. Puis un long ruban couleur arc en ciel déploya des bras, noueux comme des branches. Un corps de terre où miroitaient des feuilles, des mers et des forêt s’éleva et tout en haut un visage rayonnait, tel un soleil.
Pirouette éberluée demande d’une voix tremblante : « mais qui es-tu ? »

- Tu m’as appelé, je suis le Temps. J’ai la tête dans les étoiles et les pieds dans les profondeurs de la terre. Tu as demandé l’Hiver, alors me voilà. C’est moi qui fait les saisons. Je suis donc très important ; tout le monde parle de moi :

« Bonjour ! Quel temps fait-il ?
Quel beau temps !
Je n’aurai jamais le temps !
Quel temps de chien ! »

Même à la télé, on essaie de savoir le temps qu’il fera. Mais je suis imprévisible ! je fais ce qui me plait. Je souffle parfois le chaud, parfois le froid. Cela dépend de mon humeur. Bref, je fais la pluie et le beau temps !

- Mais, dit Pirouette intimidée, j’avais demandé juste l’hiver !

- Ah, Ah, Ah ! s’esclaffe le temps, mais l’hiver tout seul n’existe pas ! il lui faut l’automne qui fait tomber les feuilles des arbres. Il lui faut le printemps pour réchauffer la terre que l’hiver a glacée, mes saisons ont besoin les unes des autres. Ensemble, elles se donnent la main et forment une ronde éternelle.

- Mais pourquoi donc veux-tu l’hiver ?

- Je voudrais qu’il fasse froid pour que le Papa Noël passe cette nuit. Mais tu le connais toi, le Papa Noël ? ».

- Bien sûr que je le connais ! Nous travaillons ensemble depuis bien longtemps. Je peux lui demander de venir ici, mais je dois d’abord installer mes saisons. Et que me donneras-tu en échange ?

- Je n’ai pas grand chose. Je suis une toute petite fille. Et qu’est-ce qui pourrait te faire plaisir, à toi qui est si grand, si puissant ?

- J’aime quand les enfants chantent des chansons qui parlent de moi, ou bien me disent des poésies. Car vois-tu, je suis un peu poète.

Alors Pirouette réfléchit et se met à chanter : « Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver, qui s’en va soufflant crachant dans les grands sapins verts…. »

A la fin de chanson, le Temps charmé lui dit : « merci Petite fille. Tu m’as fait grand plaisir. Maintenant, tu vas aller te coucher, car il est tard. Pose tes chaussures au pied de ton lit et ferme tes yeux. Fais de beaux rêves et si tu rêves du Papa Noël, peut être il passera cette nuit… ».

Et le temps s’enfuit, laissant l’hiver derrière lui. La neige se mit à tomber et au milieu de la nuit, on entendit au loin une musique qui s’approchait. C’était les clochettes du traîneau du Papa Noël.

Depuis ce jour là, le temps s’est installé au pays de Pirouette et le Papa Noël passe chaque année.

Merci Pirouette d’avoir charmé le temps!

rn9gdy7v.jpg
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21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 00:02
même les chaises de la maison vont faire partie de la fête
et j'ai décidé de leur faire un petit cadeau apres tout c'est noel soyons folles
et je me sens d'humeur tres cadeaux cette année
alors rien que pour elles :
un bonnet de noel  pour les dossiers de chaises
voici donc ma petite creation

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voilà pourquoi je me fais rare en ce moment sur vos blogs
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20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 23:30

Les deux sapins de la Saint Aurélie

Le soir de Noël, un enfant pauvre allait de porte en porte, il frappait et disait :

Voulez-vous mes deux petits sapins ? Vous y attacherez des boules d’or et des étoiles de papier… C’est bien amusant pour les enfants…

Mais à chaque maison, les gens lui répondaient :

Il est trop tard, il y a longtemps que les arbres de Noël sont achetés !... Passe l’an prochain !

Et l’enfant se désespérait, car il n’y avait pas de pain chez lui. Son père était très vieux, sa mère malade, et les deux autres enfants au berceau. Après bien des demandes et bien des réponses indifférentes ou dures, il se trouva devant la maison d’Eidel le jardinier. A-t-on jamais eu l’idée de vendre des sapins à l’homme dont c’est le métier de les faire pousser ? Le pauvre innocent frappa et la grosse voix d’Eidel lui répondit :

Qui frappe à pareille heure ? L’enfant n’osa répondre.

Mais qui frappe chez moi quand je veux être en paix ? reprit Eidel et ses sabots claquèrent sur le plancher. Il ouvrit sa grande porte, et l’humble quémandeur aperçut un arbre magnifique, tout rutilant, tout chargé de richesses et qui jeta sa vive lueur jusque dans la rue déserte. Et trois enfants assis près d’un bon feu regardaient au foyer la dinde de Noël qui cuisait dans son jus.

Qu’est-ce que tu veux, petit ? demanda Eidel, tu as l’air d’un béjaune avec tes deux sapinots rabougris ! L’enfant se tenait tout triste parce qu’il comprenait que sa dernière espérance s’était envolée

Le froid entre chez moi, reprit le jardinier. Parle vite ou je te ferme la porte au nez !
C’était un homme qui avait le ton bourru. Autant dire qu’il était bon. Il regarda le déshérité qui avait l’âge de ses enfants, et qui, pieds nus dans la neige, n’osait même pas lever les yeux. Il parla d’une voix radoucie.

Que veux-tu ? Je te donnerai suivant mon possible…

Vendre mes deux sapins, pour Noël… mais le vôtre est bien plus beau.

N’importe ! dit Eidel. Donne-les moi !

Et il alla quérir une pièce d’or qu’il gardait en réserve dans un tiroir. Ce que voyant, le pauvre petit ne pouvait en croire ses yeux, et pensait que l’homme se moquait de lui.
Mais les enfants lui donnèrent chacun une cuisse de la dinde, et la mère, dans un bol, une part de bonne soupe chaude, et le chien aussi fut aimable pour lui et lécha bonnement ses mains rougies par le froid. Alors, il osa croire à sa joie, il remercia du mieux qu’il put et rentra chez lui, heureux comme une alouette au printemps.
Cependant Eidel, qui n’aimait pas les attendrissements, jeta dans un coin les deux sapins du pauvre, et se mit à table.
Le repas fut bon, la dinde bien cuite, le vin bien frais, puis chacun s’en fut se coucher.

Le lendemain matin, jour de Noël, les enfants d’Eidel se battaient dans la neige, en attendant l’heure de la messe, ils prirent les deux arbustes et par jeu, pour imiter leur père, s’en furent les planter derrière l’église.
Et les cloches sonnèrent. La foule prit place dans la nef et les bas-côtés. Les chants célébraient la gloire du Sauveur des hommes, et le jardinier se disait qu’on n’est jamais trop bon pour les enfants pauvres, puisqu’ils sont les frères véritables de celui qui est né dans une étable parce qu’on ne voulait de lui nulle part.
Mais quand la messe fut dite, quand les cierges furent éteints, l’encens dissipé, l’église déserte, la foule sur la place cria au prodige.


Deux sapins hauts comme le clocher, aux troncs tout droits comme des mâts de navire, aux branches vastes et lourdes, s’élevaient au ciel.
Et dans l’air pur de Noël, les oiseaux chantaient la gloire des charitables : de ceux qui aiment leur prochain.
Et l’on vit la colombe d’un vitrail s’animer soudain, voler au faîte de chaque sapin, battre les ailes par trois fois et revenir prendre sa place au vitrail chrétien.

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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 00:30
le sapin
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le gardien du sapin fait par Sandy en maternelle et les bricoles
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la cheminée
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le village et la crêche de noel fait par Damour avec cette année un train qui fait du bruit ( j'adore les trains que voulez vous meme à mon age !! )
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des decos ici et là
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18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 09:35

Le Noël de crassou

Bonjour Père Noël,
C'est moi le petit Joël Hé
oui tu te souviens de l'an passé,
je t'avais écrit sur un sac en papier.


C'est moi qu'on appel Crassou,
à cause de mes culottes pleins de trous.
Quand t'est venu à l'école tu m'avais assis sur tes genoux.


Cette année j'ai pas pris de chance,
Je t'ai écrit sans attendre
j'avais pas ton adresse au juste
j'ai fouillé dans les pages blanches à la place.


J'ai choisi n'importe quelle porte,
je sais bien que c'est toi qui ouvrira la poste
Tu te caches sous bien des barbes,
Mais tu sauras bien assécher nos larmes.


On n'approche encore de Noël.
Et pi pour moi c'est encore pareil.
J'ai toujours de la peine à ce temps-ci,
J'espère que ma lettre arrivera cette fois-ci.


J'ai pas grand chose à te demander,
en plus c'est pas pour moé.
Mais c'est dure quand on est dans la pauvreté.
On peut pas autant se faire écouter.


Tu connais la petite Mélanie,
Celle qui pleure tout le temps à chaque Midi,
pour avoir une poupée comme Barbie,
même toute nue qu'à m'a déjà dit.


Elle est tellement pauvre elle,
Qu'à fouille des fois dans les poubelles.
Comment veux-tu qu'elle aie des bébelles ?
Elle a personne pour s'occuper d'elle.


Tu dois connaître aussi le vieux Guédille.
C'est lui que couche toujours sur sa grille,
yé facile à reconnaître avec ses béquilles,
C'est le seul robineux avec des souliers de quilles.


Je sais bien que les fêtes c'est pas pour nous,
C'est pas Noël sans les bouts de choux.
Je regarde passer le monde, les bras chargés,
de tous ces cadeaux et de ces paquets bien emballés.


Mais quand j'écoute la messe de minuit,
avec mes amis devant la vitrine chez Dupuis,
On se dit la même chose depuis des années,
On sait bien qu'un jour tu viendras nous trouver.


Moi et Mélanie on est dans cour d'école,
ou on traîne dans ruelle à rêver aux étoiles,
Le vieux Guédille lui dors sur sa grille,
ou sous quelques journaux devant une vitrine.


Mélanie se contenterait d'une poupée vieillie,
Guédille d'une bouteille, même à demi.
ou d'un morceau de foulard à moitié moisi,
Et si jamais y avait de quoi manger tu serais béni.


Si Jamais d'ici le soir de la nativité,
Tu trouvais quelques heures pour me trouver,
avec seulement quelques petites choses enveloppées,
je pourrais enfin voir un Noël illuminé.


Et qui sait peut-être que pour toi aussi,
en ayant la chance de passer dans nos vies,
tout en devenant porteur de magie,
cette journée en serait une bénie.


Peut-être retrouverais-tu au fond de toi ?
Au fin fin fond de toi,
Ce gros homme à barbe en qui l'on n'ose plus croire,
Ce marchand de bonheur enterré sous les boîtes.


Je te remercie Père Noël à l'avance,
Je sais dans mon cœur que j'ai la bonne adresse.
Du petit Joël celui que te souffle sa détresse,
Et qui te demande pour étrenne une simple caresse...
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17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 00:16
j'ai trouvé cette recettte et je l'ai esayé resultat fameux tout le monde à aimer encore un peu j'oubliai de prendre une photo et pourtant j'en ai fait 2
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Pour utiliser le pain dur, et ne pas le jeter ( ce que je déteste, par dessus tout ! ), voici une recette facile, et qui en cette pèriode de fête, régalera vos invités... Je veux parler du fameux " pudding " ou diplomate aux fruits confits...

Il vous faut :
- du pain dur, environ un pain... ou de la baguette - 6 oeufs
- 1 litre de lait
- du caramel

-du rhum 1 c à café
- une boîte de fruits confits coupés en morceaux
- 2 verres de sucre en poudre
Couper le pain en gros morceaux ( enlever les parties trop dures comme le croûton).
Les mettre dans un grand plat.
Faire chauffer le lait avec le sucre, verser sur le pain.
Puis écraser à la fourchette pour obtenir une bouillie épaisse. Ne surtout pas mixer !
Ajouter alors 4 à 5 cuillerées à soupe de caramel au rhum. La bonne quantité est fonction de votre goût, de même que le sucre.

Puis battez les oeufs en omelette, et ajoutez les à la préparation.
Ajoutez le caramel et mélangez bien.
En dernier, ajoutez les fruits confits.
Versez la préparation dans un moule à cake beurré, puis placez la au four th 180 ° pendant 45 minutes.
Le gâteau est cuit lorsqu'il est bien doré et gonflé, la croûte fendue.
Ouvrez la porte de votre four, laissez refroidir.
Pour démouler ( tiède ) passez une lame de couteau fine sur le tour du moule pour décoller le gâteau des bords, puis retournez sur un plat.
Attention, le gâteau est fragile. Opération délicate...
Moi, je l'aime nature. Mais c'est également délicieux servi avec de la crème anglaise bien fraiche ...Et sentez cette bonne odeur de pain chaud qui flotte dans la maison ...

Il peut avoir sa place sur les tables de fête, recouverts d'écorces d'oranges confites ou de cerises !

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16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 00:30

Le premier Noel du petit renne blanc

Il était une fois, dans la plaine du Nord, un petit renne blanc comme la neige. Au milieu de sa famille rassemblée autour du traîneau de Noël prêt à partir, il regardait tour à tour le grand renne et le Père Noël.
Il s'approcha du Père Noël, glissa sa tête sous son gant et lui demanda :

S'il te plaît, est-ce que je peux vous accompagner ?

Le Père Noël sourit et lui expliqua :

Cette nuit de Noël serait trop longue pour toi ... Je pense que tu seras mieux ici !

L'an prochain, tu pourras venir ! ajouta le grand renne.

L'an prochain ? soupira le petit renne blanc. Mais c'est loin... l'an prochain !

Avec de la tristesse plein les yeux, il regarda le traîneau s'éloigner. Le manteau du Père Noël ne fut bientôt plus qu'une minuscule étoile rouge à l'horizon. Les autres petits rennes l'invitèrent à jouer, mais il hocha la tête en regardant le ciel.
Sous la clarté de la lune, les arbres, habillés de neige scintillante, se dressaient merveilleusement. Il faisait presque aussi clair qu'en plein jour. Soudain, le petit renne blanc aperçut quelque chose au pied d'un sapin. Il trottina jusque-là, et que vit-il ? Un paquet !

" Il est certainement tombé du traîneau ! " pensa-t-il, et il n'hésita pas une seconde.

Avec la plus grande délicatesse, il souleva le paquet avec ses bois et avança dans les traces du traîneau.
La neige crissait, craquait sous ses pas. Lorsqu'il franchissait les miroirs de glace, ses sabots faisaient de petits bruits secs. Le petit renne blanc était heureux. Il se sentait tout léger à l'idée de rejoindre le père Noël et le grand renne avec, dans ses bois neufs, un peu de leur précieux chargement.

Mais arriverait-il à temps ?

C'est alors que, occupé par cette pensée, il dévala malgré lui, au galop, une pente vertigineuse et arriva un peu brutalement au pied d'un arbre. A demi assommé, il cligna des yeux, releva ses pattes une à une et finit par se redresser.

" Ouf ! je n'ai rien ! " se dit-il.

Mais il réalisa soudain que ses bois étaient vides.

" Le paquet ? ... Où donc est le paquet ? " se demandait-il en fouillant du regard autour de lui. Il contourna les arbres les plus proches : pas de paquet ! Il grimpa sur un petit rocher. Il regarda bien de tous les côtés : toujours pas de paquet !

"Il ne peut pas être bien loin ! " se répétait-il pour se rassurer. Il fit encore quelques pas, et, au pied d'une touffe de houx, que vit-il ? Le paquet. Il fit deux ou trois cabrioles tant il était content. Délicatement, il le reprit entre ses bois et poursuivit son chemin.
En traversant une plaine blanche, le petit renne blanc aperçut enfin un village. Il se sentait de plus en plus léger. De temps en temps, il levait les yeux vers le ciel étoilé. De son gros oeil rond, la lune semblait le surveiller. Les flocons s'étaient remis à tomber. A l'entrée du village, dans toute sa blancheur, la neige s'étalait comme un vrai tapis que personne n'avait osé froisser. Le petit renne blanc avait perdu les traces du traîneau ! Il ne savait plus par où se diriger. Il avança dans une première rue. Les maisons silencieuses semblaient dormir profondément. Pas un bruit ! Ni dans cette rue ni dans aucune autre.

" Je vais bien finir par les retrouver ! " se disait-il pour se donner du courage.
Il fit encore quelques pas, et, à l'angle d'une maison, que vit-il ? Le traîneau, puis le grand renne, puis le Père Noël. Tout guilleret, il les surprit en leur adressant un

"Joyeux Noël ! "

Le Père Noël se retourna et son visage s'illumina :

Le cadeau que je cherchais ! Je peux dire que tu arrives à temps !

Il ne savait comment le remercier. Il enleva son gant pour mieux lui caresser le museau. Qu'il était beau, le petit renne blanc avec dans ses bois veloutés le petit paquet auquel s'étaient accrochés quelques feuilles de houx et de gui !
Aujourd'hui encore, ces perles rouges ou blanches se mêlent au décor de Noël.
Le Père Noël prit le paquet et disparut dans une maison, tandis que le grand renne, fier du petit renne blanc, lui manifestait sa joie.

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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 11:59
veille sur ma maison il m'a été offert par ma copine Léokadie entierement fait par elle
j'adore son air un peu baba cool  avec ses cheveux dans le vent et sa tenue

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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 16:29

La fabuleuse histoire de Compote et Brioche

Dans la forêt de Sharoine, Compote et Brioche se promenaient. Compote a trois ans et son amie Brioche 5 ans. Elles rencontrèrent, devinez qui ? Le Père Noël. Il les invita chez lui pour boire un chocolat chaud.
Avec les lutins, les petites filles préparèrent les cadeaux de Noël pour tous les enfants de la Terre. Elles travaillèrent beaucoup, sans connaître les cadeaux qu'elles auraient pour Noël. Les petites filles étaient tristes. Elles pensaient que le Père Noël les avait oubliées !

Elles lui demandèrent :
- Où sont nos cadeaux ?
Il leur répondit :
- Oh, mon dieu ! Je vous ai oubliées !!

Compote et Brioche rentrèrent chez elles le cœur gros et s'endormirent. Le lendemain, jour de Noël, les petites filles se réveillèrent et trouvèrent dans leurs chambres, deux gros paquets avec une lettre. C'était le père Noël qui leur avait amené de nombreux cadeaux...

Les petites filles retrouvèrent le sourire et firent le serment de toujours être sages à l'avenir.

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 18:22
ma chanson préférée pour cette periode de l'année



je vous l'avais suggéré et devant la demande j'y reponds volontiers
il vous faut une petite couronne en polystyrene 8,5 cm
80 cm de ruban de 2 cm de large
2 petits morceaux de ruban large et decoré
un morceau de ruban pour faire les noeuds du haut
un bout de fil doré pour l'attacher
20 cm de cordelette
des épingles pas trop longues
PC110473

une fois la couronne separé en deux , couper au cutter , enrouler le ruban autour des deux parties
PC110468

mettre de chaque coté le ruban tres large et decoré un petit bout de ouatine pour donner du relief et assembler les deux parties avec des epingles
PC110471

mettre autour toujours avec des epingles la cordelette
PC090456-copie-1

pour finir faire deux beaux noeuds et entre les deux glisser le fil pour l'accrocher
et voilà un petit lien vers mon blog si vous faites ce tuto merci

PC110475

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